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La femme docile pour une nuit.  

darkness2526 49M/49F
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2/14/2018 10:03 pm
La femme docile pour une nuit.

Elle était là, assise sur un banc, non loin de l’entrée de la discothèque, les cheveux au vent, le regard hagard, une cigarette à la main, mais elle semblait absente.
Il était déjà 4 heures du matin, et la viande soule masculine qui sortait de la boite de nuit la contemplait de la tête au pied, comme un morceau de viande à l’étal du boucher.
Il faut dire qu’elle attirait l’attention.
Ses jambes croisées sous une longue robe noire fendue du côté gauche jusqu’en haut des cuisses, laissait apparaître les jolies formes de ses mollets dans des bas nylons de couleur chair, avec des escarpins à hauts talons, posés maladroitement sur le gravier qui jonchait le sol.
Depuis ma voiture qui était sur le parking en contrebas, je l’observais avec admiration.
Elle passait très souvent sa main dans sa longue chevelure brune, et parfois, elle gonflait torse pour prendre une grande bouffée d’air, laissant apparaître les formes de sa poitrine imposante, à travers chemisier trop serré.
Quelques loosers défoncés l’ont quelque peu agressé verbalement, mais elle ne se laissait pas faire. Elle semblait un peu perdue mais consciente de la situation.
De longues minutes ont défilé avant que je ne trouve le courage d’aller l’aborder.
Moi qui suis un peu timide, c’était là une bonne occasion de me prendre en main pour aller l’accoster.
J’ai attendu qu’il n’y est plus personne aux alentours, et lorsque je me suis approché, je ne pense pas qu’elle m’ai vu, mais elle a décroisé ses jambes comme dans « Basic Instinct ». J’ai pu alors apercevoir le haut de ses bas avant qu’elle ne recroise ses jambes de l’autre côté.
J’ai failli faire demi-tour, mais étant à une dizaine de mètres d’elle, je me suis dis que je ne pouvais plus rebrousser chemin, et qu’il fallait que j’aille de l’avant.
Je me suis donc rapproché d’elle.
Ses longues jambes dans ces bas nylons me faisaient frémir de jouissance et plus je m’approchais d’elle, plus l’odeur de parfum m’envoutait.
Elle a fini par me voir et m’a regardé d’un air méfiant.
Je me suis assis à ses côtés, sans rien dire.
Quelques minutes se sont écoulées avant qu’elle ne m’aborde.
-« Tu es tout seul ? » me dit-elle en me regardant.
-« Oui ».
Puis, plus rien….
Je ne pouvais m’empêcher de regarder ses jambes du coin de l’œil, en faisant semblant de regarder ailleurs, et je me disais au fond de moi qu’il fallait absolument lancer une discussion pour attirer attention.
Mon regard se dirigeait parfois sur décolleté plongeant qui faisait apparaître de temps à autre la dentelle de soutien-gorge, noir.
J’étais déconcerté et je ne savais pas trop quoi lui dire.
Il faisait encore très chaud en ce mois de juillet, et je commençais à transpirer.
Il fallait absolument que je trouve un sujet de discussion.
-« Et toi, tu es seule ? ».
-« Oui, je viens de me faire larguer par mon mec ».
-« Pas grave, tu en trouveras un autre ».
Cette phrase m’était sortie machinalement, et dans la seconde qui a suivi, elle s’est retournée vers moi et m’a enlacé comme si on se connaissait depuis des années.
Je n’ai pu m’empêché de la prendre dans mes bras en essayant de la consoler.
C’est alors que parfum m’a inondé, et la douceur de sa peau a fait monter en moi un désir inexplicable.
Nous sommes restés là dans cette position quelques secondes pendant que mes mains caressaient dos affectueusement. Elle, de côté, me serrait très fort dans ses bras comme si on était de vieux copains.
Puis elle s’est redressé et m’a regardait, ses yeux brillants par les larmes qui avaient coulé le long de ses joues, et elle m’a embrassé.
Bien sûr, je me suis laissé faire, et je dois avouer que j’ai apprécié ce moment intense de volupté inopiné.
Après cet échange de baisers, elle a posé sa tête sur mon torse et m’a dit : « Emmène-moi avec toi ».
Je ne pouvais qu’accomplir désir. Je me suis levé en lui tendant la main et je lui ai dis : « Viens ».
Nous sommes partis tous deux, main dans la main en direction du parking où se trouvait ma voiture.
Comme un bon gentleman, je lui ai ouvert la porte passager, et elle est montée dans ma voiture. Elle a soulevé légèrement sa longue robe noire pour s’assoir, mais j’ai juste aperçus ses mollets car la fente de la robe était de l’autre côté.
J’ai refermée sa portière et j’ai fais le tour de mon véhicule pour prendre la place du conducteur.
Lorsque je me suis assis sur mon siège, malgré la pénombre, mon regard s’est de suite tourné sur sa jambe gauche, côté fente, qui laissait encore une fois apparaître le haut de ses bas nylons.
Je lui ai dis : « Où allons-nous ? ».
Elle m’a répondu : « Où tu veux ».
J’ai mis les clés dans le contact et j’ai démarrée le moteur de la voiture.
Elle s’était positionnée de travers sur le siège, et sa jambe touchait le levier de vitesse. Peut-être était-ce volontaire ?
Toujours est-il que lorsque j’ai passé la 1ière, le revers de ma main a effleuré sa jambe avec délicatesse, et elle n’a pas bougé d’un poil.
Nous sommes sorti de l’enceinte de la discothèque pour une destination encore inconnue, et j’ai allumé le poste radio.
Au bout d’une centaine de mètres, le fond sonore du poste radio me déplaisait alors j’ai voulu changer de station.
J’avais à peine touché le bouton rotatif pour changer de station de radio que sa main est venue m’effleurer en me disant : « Laisse…. J’aime bien… ».
Je restais là, le doigt sur le bouton, et elle restait là, me tenant la main.
Lorsque j’ai du rétrograder pour aborder un virage, sa main a accompagné la mienne sur le levier de vitesse, puis le volant, et après avoir passé la 5ième pour m’élancer sur une longue ligne droite, j’ai posé ma main sur ses cuisses comme si de rien n’était.
Elle a caressé mon bras pour venir poser sa main entre mes jambes en me disant : « Tu me plais ».
Ses larmes avaient séché, et regard malicieux me faisait vibrer.
Toujours la main sur moi, elle a commencé à défaire les boutons de ma braguette et a sorti mon pénis de mon pantalon.
Mon érection était palpable, et je conduisais, mon sexe droit comme un « i », en me laissant faire.
Après quelques mouvements de sa main tenant mon sexe, elle s’est penchée sur moi pour me faire une fellation.
J’ai réduis ma vitesse et me suis mis à l’aise pour ce moment érotique inattendu.
Ma conduite était un peu hasardeuse, mais je profitais de cet instant hors du commun.
Je me laissais faire tout en passant ma main sous sa robe. Je remontais lentement le long de ses cuisses jusqu’à atteindre sa peau douce comme une peau de pêche, mais je n’ai pas eu le temps de caresser sa croupe. J’ai éjaculé dans sa bouche avant même de lui procuré du plaisir.
Elle a remonté mon caleçon et a fermée ma braguette, puis elle s’est redressée sur siège comme si de rien n’était.
Légèrement ébranlé, j’ai continuée la route jusque chez moi.
On a été directement dans ma chambre où j’ai allumé la<b> petite </font></b>lampe d’ambiance. On s’est assis sur le lit et on s’est embrassé.
Tout en déboutonnant ma chemise, elle enlevait ma ceinture d’une manière un peu agressive, puis elle a rouvert ma braguette pour goûter une nouvelle fois à ma verge qui en demandait encore. Je lui ai défais chemisier, tout en admirant joli soutien-gorge noir en dentelle que j’avais pu apercevoir vaguement, puis j’ai attrapée sa robe pour la faire descendre le long de ses jambes, laissant apparaître string en dentelle noir.
Elle a elle aussi descendu mon pantalon, enlevé ma chemise, et nous étions là, serré l’un l’autre, en sous-vêtements.
Tout en s’embrassant, nous nous sommes allongés sur mon lit, nos corps serrés, et sa tête est descendue en me léchant le torse, jusqu’à atteindre mon caleçon.
Elle était là, à genoux entre mes cuisses, et elle a ôté mon caleçon pour laisser jaillir ma verge en érection.
Après l’avoir lécher une nouvelle fois, elle s’est positionnée sur mon sexe en écartant string, et je l’ai pénétré en sentant cette douce chaleur qui inonde un male lors d’une pénétration.
Mes mains caressaient ses seins à travers soutien-gorge que j’ai dégrafé quelques minutes plus tard, pour enfin sentir ses tétons pointés et durs, que je n’ai pu m’empêcher de lécher.
Elle portait toujours ses bas couleur chair que j’ai caressé à plusieurs reprise, et quand je remontais mes mains, je pouvais sentir sexe humide, ce qui n’était pas pour me déplaire, et nous avons effectué plusieurs positions du kamasoutra avant de jouir l’un et l’autre.
J’ai fini par lui éjaculer sur les fesses pendant la levrette.
Sans rien dire, elle s’est allongée à mes côtés et nous nous sommes endormis.
A mon réveil, quand j’ai vu cette beauté à mes côtés, je n’ai pu m’empêcher de caresser corps somptueux. Elle était positionnée sur le dos, laissant apparaître sa croupe épilée, alors je l’ai recouverte des draps qui avaient glissé en bas du lit, avant de jouer de mes mains baladeuses.
Mes mains effleuraient corps en partant de coup jusque ses cuisses, et elle gémissait doucement à chaque fois que je touchais clitoris. Je remontais alors lentement ma main tremblante jusqu’à ses seins, afin d’assouvir mes désirs et mes fantasmes.
Elle a fini par se réveiller, et en se tournant vers moi pour me prendre dans ses bras, elle a senti mon sexe dur qui lui touchait sa cuisse, et elle m’a dit : « Fais-moi l’amour ».
Nous sommes repartis dans des ébats torrides, et elle a voulu que je jouisse sur visage.
Quand le moment était venu, je l’ai attrapé par les cheveux pour lui refaire goûté mon élixir de jouissance.
Elle a tout avalé avant de passer à la salle de bain pour prendre une douche.
Entre temps, je m’étais levé pour préparer le petit déjeuner, que nous avons pris sur la terrasse sans rien dire, en tenue d’Adam et Eve.
Au bout d’un moment, elle m’a dit : -« Ramènes moi s’il te plait».
Nous sommes donc partis en direction de la discothèque, et je l’ai déposé sur le parking.
Le temps de me rouler une cigarette avant de reprendre ma route, elle avait rejoint le banc sur lequel je l’avais rencontré la veille, et elle s’est assise, les jambes croisées, les cheveux au vent, une cigarette à la main, le regard hagard.
Puis je suis reparti….


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