Reset Password
If you've forgotten your password, you can enter your email address below. An email will then be sent with a link to set up a new password.
Cancel
Reset Link Sent
If the email is registered with our site, you will receive an email with instructions to reset your password. Password reset link sent to:
Check your email and enter the confirmation code:
Don't see the email?
  • Resend Confirmation Link
  • Start Over
Close
If you have any questions, please contact Customer Service

(Suite) Les petits pains au chocolat  

rm_DanyXOXQ 58M
275 posts
2/23/2012 12:16 pm
(Suite) Les petits pains au chocolat


Donc, elle me relève la tête et m’embrasse avec force pour étouffer souffle. En même temps, elle me serre contre elle de toutes ses forces. Ma main est toujours à la renverse, prisonnière de jeans, pendant qu’elle s’y frotte vigoureusement la vulve d’un vas-et-viens violent du bassin. Lorsque la tension redescend, je comprend qu’elle a eut un orgasme. Je suis quelque peut déçu d’y avoir si peut participé. Je retire doucement ma main endolorie en l’embrassant dans le cou. Elle est chaude, douce et à mon grand bonheur ne semble pas vouloir s’arrêter. Tant mieux! Mon petit soldat est au garde-à-vous et n’attends qu’un geste doux vienne le sortir de sa tranchée de plus en plus étroite. Mais elle ne fait rien. Elle n’appel pas les renforts. Elle me flatte, me caresse, m’embrasse chaleureusement mais ses mains évitent soigneusement de toucher à mon petit soldat...

Je me dis qu’elle est en pause et je profite de sa générosité, de nos contacts, de la chaleur de nos corps à moitié dévêtus. Pendant que je l’embrasse, que je la flatte que je la sent, je me cambre comme pour la pénétrer. Mon niveau d’excitation, déjà très haut, est comme sur la pente ascendante d’une montagne russe... Je vais exploser! Je tente une première manœuvre en déboutonnant mon jeans et en ouvrant ma braguette. Mais ses mains évitent toujours la zone. Ce n’est donc pas assez... Je baisse mon pantalons jusqu’aux genoux. Pas même un effleurement. J’entend mon petit soldat se plaindre d’une voix déçue qui me dit “...ben là...”! Je me roule alors sur le dos. Elle ne pourra pas faire semblant de ne pas le voir. Encore une fois, elle m’embrasse, me caresse mais ne touche pas du tout à mon sexe. Couché sur le dos, elle se couche sur moi et je lui caresse les fesses tout en baissant jeans. Elle termine le travail et s’assoit à cheval sur moi. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai viser juste ou si c’est à cause de sa lubrification: mais la pénétration fût automatique. J’ai pousser un soupir de satisfaction. Elle était tellement confortable!

Doucement, comme pour savourer chaque millimètre de intérieur, elle engouffre mon dard de peau jusqu’à sa limite, force un peut pour s’assurer qu’il n’y a plus rien; puis se relève tout aussi doucement. Une seconde fois, un peut plus vite; puis je me cambre... J’accélère et après quelques coups, j’explose! Ha non! C’est pas vrai... Je ne vais pas en rester là. De toutes manières, il n’y a pas de ramollissement en vue et la demoiselle semble toujours excitée. Elle respecte ma petite mort, mais appuie avec force clitoris sur mon bas ventre dans un geste lent et circulaire. Après cette petite trêve, mon petit soldat reprend du service. J’ai envie qu’elle jouisse à nouveau. Je la contemple dans la pénombre lorsqu’elle se redresse en position assise, puis à la renverse et nous baisons dans la même position, à un rythme irrégulier. Tantôt lent, tantôt saccadé. Parfois je lead, parfois c’est elle. Puis après un bon moment, elle se couche complètement sur moi, roule sur le côté et sa respiration ralentie... je crois qu‘elle dors. Je me suis assoupis, quelques minutes plus tard.

Il fait toujours nuit lorsque j’entend une voix chuchotant dire “...et lui? On fait quoi avec?” Je sort difficilement de ce bref sommeil. J’ai la peau des fesses irrité par le tapis à poil ras du salon, je me sent tout mouillé et je commence à distinguer la silhouette d’une femme en robe de nuit. J’allume! Mon jeans était toujours descendu jusqu’aux genoux et je suis seul couché sur le tapis du salon. La femme, c’est sa mère et Nathalie est déjà en uniforme de travail... Je me rhabille à la vitesse d’un jeune qu’on vient de prendre les culottes baissées. Nathalie m’embrasse, me dit “Dany, je te présente ma mère“. Puis elle mit manteau, ses bottes et sort comme un coup de vent en me disant qu’elle sera de retours avant midi... Tourlou!

Sa mère... Je ne lui donnais pas encore 40 ans. Blonde, belle femme svelte et très sympathique m’invite à prendre le café au lait avec chum. Lui, je ne lui donne qu’une trentaine d’années. Beau gars athlétique mais qui ne fit pas vraiment avec la mère (...pourtant, je les ais aperçu, il y a quelques années et ils étaient toujours ensembles.): Lui il a un fort accent québécois et elle a tout d’une parisienne. Pour le reste, ils travaillent tous deux dans la restauration comme chefs et ils doivent quitter tout de suite après le café. Je me retrouve seul avec le frère qui dors même après le retours de Nathalie. Tout vous dire sur cette semaine ferait l’œuvre d’un vrai<b> roman. </font></b>C’est pourquoi je vous épargne les détails pour ne plus m’en tenir qu’aux principaux éléments.

J’ai passé une semaine merveilleuse avec cette famille hors du commun. Ils étaient très sympathiques, très ouvert, très chaleureux, conviviales, amusants... Avec Nathalie, ça n’a duré que cette semaine trop courte. Mais à la fin nous nous sommes séparés sans tristesse ni regrets. Je suis revenus chez moi avec une kékette rougie, mais rassasiée et mes boules vidée à sec! Je retiens de cette semaine la plus belle image érotique de ma vie sexuelle. Je me souviens d’un matin où Nathalie m’a réveillée en s’assoyant à cheval sur mon pénis à peine reposé et en recommençant le même scénario, se penchant vers l’arrière, éclairée par le soleil levant... Elle n’a jamais touché mon sexe de ses mains, ni de sa bouche et je n’ai jamais su pourquoi. Et à tous les matins de cette semaine mémorable, nous avons pris le café au lait avec un petit pain au chocolat...

À ceux qui désirent le savoir, cette histoire est vrai en tout points -comme toutes les autres que j’ai présentées dans ce blog. Je les révèle pour la première fois et ce sont des moments importants pour moi. Mon seul regret c’est de ne pas avoir un sens poétique suffisamment développé pour vous rendre toute l’émotion et, souvent, la beauté qu’elles supporte.

Become a member to create a blog